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Christiane Frémont
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Dessine-moi l'athéisme
Christiane Frémont
- Editions Dialogues
- Nouvelles Ouvertures
- 9 Juin 2016
- 9782369450443
Etre athée ce n'est pas être anti, ni contre les croyances : simplement les athées n'en tiennent pas compte. Et ma foi ! pourquoi les croyants ne seraient-ils pas aussi discrets que les athées ? Qu'ils croient mais qu'ils nous fichent la paix !
Interrogeant l'athéisme Christiane Frémont questionne les notions de croyance, de création, de preuve, de religion.
Etre athée ce n'est pas être anti, ni contre les croyances : simplement les athées n'en tiennent pas compte. Et ma foi ! pourquoi les croyants ne seraient-ils pas aussi discrets que les athées ? Qu'ils croient mais qu'ils nous fichent la paix !
Accessible tant aux collégiens (pourvu qu'ils soient lecteurs) qu'aux lycéens et à leurs parents, Dessine moi l'athéisme est un livre plus que jamais urgent et nécessaire. L'ouvrage est enrichi des dessins aussi pertinents qu'impertinents de Nono, à qui l'on doit dans la même collection Dessine moi la philo.
Un livre salutaire. -
Singularités : Individus et relations dans le système de Leibniz
Christiane Frémont
- Vrin
- 1 Janvier 2001
- 9782711615926
Singularités : le mot ne se dit pas tant des individus que des relations qui les lient contingentement au monde. Car l'harmonie universelle n'est pas si performante que le laisse entendre son auteur, sur des questions fondamentales pour la cohérence du "Système" - en particulier celle du mal, reprise au siècle d'après dans un leibnitianisme resté incompris. On concluerait à l'échec, si la loi d'harmonie n'était capable d'engendrer des relations qui, en écart à son fonctionnement ordinaire, la modulent diversement, l'infléchissent, l'enrichissent, pour produire localement des effets de cohésion inespérés aux lieux mêmes où elle restait inopérante.
Mais, pour repérer ces endroits singuliers, il faut plonger dans le labyrinthe sous-jacent au réseau : prendre en compte le multiple dans ses variétés, les personnages qui tissent le monde choisi et racontent son histoire, les choses humaines en ce qu'elles ont d'irréductibilité au rationalisme - et qui pourtant sont, par la suffisance des raisons, le comble de la rationalité.
Intervient alors, pour la connaissance, un autre modèle que la démonstration more geometrico, emblème ordinaire de l'Age classique : l'Ars rationis des juristes, arpenteurs de la contingence et mathématiciens du plausible, maîtres d'une technique d'argumentation où la philosophie apprend que les sciences humaines peuvent aussi atteindre à la plus grande certitude. -
L'eêtre et la relation : Avec trente-sept lettres de Leibniz au R.P. Des Bosses
Christiane Frémont
- Vrin
- 7 Octobre 2002
- 9782711602582
Leibniz écrivit au R. P. Des Bosses jusqu'aux derniers jours de sa vie. Mais ce n'est pas seulement la mort qui mit fin à cette ultime correspondance : c'est que le système trouve ici sa clôture.
Les entretiens portent sur la querelle du jansénisme, le corps des anges, l'union de l'âme et du corps, la substance composée, la transsubstantiation. C'est la relation qui les occupe, cette relation qui produit l'être, c'est-à-dire l'unité : celle des églises autour du Christ.
La relation métaphysique pose un problème analogue : quelles relations penser entre les monades pour produire leur unité? Cela impose de réfléchir sur la transsubstantiation, donc sur le Christ. -
Que me contez vous là?
Christiane Frémont
- Editions Dialogues
- Nouvelles Ouvertures
- 9 Septembre 2010
- 9782918135159
Ah, les hommes... ! Ah, les femmes... ! Il fallait l'oeil vif de celui que le siècle appelait " le Philosophe " pour peindre ces curieuses bêtes que sont les humains. Sont-ils bons, sont-ils méchants ? Mais qui les fit tels ? La nature ? La société ? Elles se relaient l'une l'autre - mais les crimes du collectif sont plus graves que ceux de l'individu. Mais encore : celui-ci estil vraiment sujet à part entière ? libre, ou déterminé ? Comment se font les liaisons entre les choses, les êtres, les événements, les pensées ? Jacques, le fataliste, en tient pour la nécessité, son auteur subtilement le récuse. Le vieux débat sur le mal, la contingence, la nécessité, n'est pas clos. Et il fallait toute la richesse inventive des Contes pour démêler la complexité du questionnement métaphysique sur le réel. La littérature commence-t-elle là où s'arrête la philosophie ?
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