Chef-d'oeuvre mythique et singulier de la science-fiction, le cycle des Seigneurs de l'Instrumentalité compose au fil de ses tableaux une légende des siècles futurs, empreinte de poésie et d'une profonde humanité. Une vision inoubliable de notre avenir, d'une ambition comparable au Fondation d'Isaac Asimov ou à L'Histoire du futur de Robert Heinlein, complétée au tome IV de Concordance, essai inédit d'Anthony Lewis, nominé au prix Hugo 2000, qui analyse tous les personnages, lieux et éléments apparaissant dans cette gigantesque histoire du futur.
Chef-d'oeuvre mythique et singulier de la science-fiction, le cycle des Seigneurs de l'Instrumentalité compose au fil de ses tableaux une légende des siècles futurs, empreinte de poésie et d'une profonde humanité. Une vision inoubliable de notre avenir, d'une ambition comparable au Fondation d'Isaac Asimov ou à L'Histoire du futur de Robert Heinlein, complétée au tome IV de Concordance, essai inédit d'Anthony Lewis, nominé au prix Hugo 2000, qui analyse tous les personnages, lieux et éléments apparaissant dans cette gigantesque histoire du futur.
Chef-d'oeuvre mythique et singulier de la science-fiction, le cycle des Seigneurs de l'Instrumentalité compose au fil de ses tableaux une légende des siècles futurs, empreinte de poésie et d'une profonde humanité. Une vision inoubliable de notre avenir, d'une ambition comparable au Fondation d'Isaac Asimov ou à L'Histoire du futur de Robert Heinlein, complétée au tome IV de Concordance, essai inédit d'Anthony Lewis, nominé au prix Hugo 2000, qui analyse tous les personnages, lieux et éléments apparaissant dans cette gigantesque histoire du futur.
Chef-d'oeuvre mythique et singulier de la science-fiction, le cycle des Seigneurs de l'Instrumentalité compose au fil de ses tableaux une légende des siècles futurs, empreinte de poésie et d'une profonde humanité. Une vision inoubliable de notre avenir, d'une ambition comparable au Fondation d'Isaac Asimov ou à L'Histoire du futur de Robert Heinlein, complétée au tome IV de Concordance, essai inédit d'Anthony Lewis, nominé au prix Hugo 2000, qui analyse tous les personnages, lieux et éléments apparaissant dans cette gigantesque histoire du futur.
Des voiliers de métal gigantesques voguent d'étoile en étoile, poussés par les vents de la lumière, si immenses que, lorsque leur ombre s'immobilise trop longtemps sur la T erre, ils y font régner l'hiver. En surface, T erraport, une mégalopole dont le sommet se perd dans l'espace. Tandis que, sous la terre, vivent les femmes-oiseaux, les hommeslions, les filles-chats du sous-peuple. C'est le règne des Dames et des Seigneurs, aux âges étranges de la Redécouverte de l'Homme. A plus de quinze mille ans d'ici.
Chef-d'oeuvre mythique et singulier de la science-fiction, le cycle compose au fil de ses tableaux une légende des siècles futurs, une vision inoubliable de notre avenir, un ensemble magique, où s'entremêlent spiritualité, aventure, romance et toutes les facettes de la psyché humaine.
Chef-d'oeuvre mythique et singulier de la science-fiction, le cycle des Seigneurs de l'Instrumentalité compose au fil de ses tableaux une légende des siècles futurs, empreinte de poésie et d'une profonde humanité. Une vision inoubliable de notre avenir, d'une ambition comparable au Fondation d'Isaac Asimov ou à L'Histoire du futur de Robert Heinlein, complétée au tome IV de Concordance, essai inédit d'Anthony Lewis, nominé au prix Hugo 2000, qui analyse tous les personnages, lieux et éléments apparaissant dans cette gigantesque histoire du futur.
1936 pages, 108 x 17
Rod McBan 151st farms 'stroon', the immortality drug, and is the last scion of one of the oldest and most honourable families on Norstrilia, only source of stroon. But he's also a telepathic cripple and faces the ever-present risk of being culled under the government's draconian population laws. To protect himself, he uses his not-strictly-legal computer to play the market and amass an unimaginable fortune. But after he survives an assassination attempt, McBan discovers that having enough money to literally buy the Earth is no good if you're too dead to spend it . . .