La sociologie criminelle / Henri Ferri,... ; trad. de l'auteur sur la 3e éd. italienne... http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77554d

Un ouvrage devenu rare issu d'une conférence donnée sur les crimes du sang dans la tragédie et dans le drame.- Le crime dans les romans et les drames judiciaires: Gaboriau et Sardou.- Les criminels dans le roman contemporain: Zola, Bourget, Coppée, etc. Un livre jamais réédité depuis sa parution et signé par l'un des plus grands criminologues italiens.

"La sociologie criminelle" est un ouvrage écrit par Enrico Ferri, un juriste et sociologue italien, souvent associé au courant positiviste de la criminologie. Ce livre, publié pour la première fois en 1901, est considéré comme l'une des contributions majeures à la compréhension scientifique du comportement criminel.

Dans "La sociologie criminelle", Ferri s'engage dans une étude approfondie des causes sociales du crime. Il rejette les approches moralistes du crime et cherche plutôt à expliquer les comportements criminels à travers des facteurs sociaux, économiques et environnementaux. Ferri développe le concept de "criminalité sociale", affirmant que les individus sont souvent poussés vers le crime en raison de circonstances sociales défavorables, plutôt que d'une volonté morale défectueuse.

Ferri explore également la notion de déterminisme social, suggérant que certains individus peuvent être prédisposés au crime en raison de facteurs tels que la pauvreté, l'éducation déficiente ou d'autres conditions sociales. Son travail contribue ainsi à la formation de la criminologie en tant que discipline scientifique distincte, mettant l'accent sur l'importance de comprendre les causes sous-jacentes du crime pour élaborer des politiques de prévention plus efficaces. Lire la suite Fermer

Cet ouvrage reconsidère le racisme nazi et fasciste dans une perspective originale. Après les lois pour «la défense de la race», promulguées en Allemagne (1935) puis en Italie (1938), les communautés arméniennes durent prouver que les Arméniens n'étaient pas assimilables aux Hébreux sémites, avec lesquels ils avaient en commun quelques caractéristiques, comme la condition diasporique, mais qu'ils appartenaient à la «race aryenne».