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Lulu
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Ce volume II, d'une série de dix publications, présente une approche pédagogique de la première des trois séries de kata (séquences de techniques codifiées) qui constituent le programme de l'école de sabre traditionnelle japonaise (koryu) Muso Shinden Ryu.
Le préalable de l'approche ici proposée est la lecture du premier volume de la série, intitulé « Vademecum de l'instructeur et du pratiquant de l'art du sabre japonais », qui contient les éléments d'information historique, la définition des principes fondamentaux de la discipline, et une méthodologie d'approche à l'étude et à la pratique des techniques de l'art du sabre japonais.
Les katas ici décrits sont ceux qui ont été directement transmis par Sensei OKADA Morihiro, Hanshi, au Dojo de Shimotokaido au Japon, et sont fondés sur la base de connaissances directement reçue par celui ci de la part de Sensei NAKAYAMA Hakudo, seizième Soké (responsable national en titre) de l'école Muso Shinden Ryu, au début du XXème siécle.
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Vademecum de l'instructeur de l'art du sabre japonais Tome 1
Philippe Pradel
- Lulu
- 28 Août 2015
- 9781291622614
Ancien élève de Sensei Pierre DELORME, Instructeur Fédéral accrédité par le Comité National du Kendo (CNK, France), et de Sensei ASAOKA (Mike) Mitsuru, Hanshi, professeur du plus haut niveau accrédité par la Fédération Japonaise de Kendo (ZNKR, Zen Nihon Kendo Renmei), il partage aujourd'hui avec nous ce vademecum (livret de référence), qui couvre l'ensemble des principes, techniques et katas (séquences d'actions codifiées, organisées en trois séries, Shoden, Chuden, et Okuden) de l'école de sabre traditionnelle Muso Shinden Ryu (?????).
C'est la première fois qu'est publié hors du japon un ouvrage de référence pédagogique relatif à la totalité de la discipline de l'art du sabre japonais (le iaido), et contenant des éléments détaillés d'étude et d'approche pas à pas, dans la tradition des écrits des maîtres historiques.
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Réfléxions divers sur Haïti : La misère au sein des richesses
Démesvar Delorme
- Lulu
- 4 Mars 2022
- 9781678023645
« C'est à l'heure, ô Patrie,où te voilà sanglante et inanimée,la tête pendante, les yeux fermés,la bouche ouverte et ne parlant plus,que le coeur du proscrit déborded'amour et de respect pour toi. »V. H.{2} La colonie française de Saint-Domingue expédiait annuellement à la métropole, à l'époque de la Révolution, 163 406 000 livres de sucre, 68 152 000 livres de café, 1 808 700 livres d'indigo, 1 978 800 livres de cacao, 52 000 livres de roucou, 6 900 000 livres de coton, 14 700 cuirs, 6 500 livres d'écaille, 22 000 livres de casse, 11 286 000 livres de bois de teinture, et plusieurs autres produits ou matières premières, comme cire, tabac, sirop, tafia, bois d'ébénisterie, dont les quantités sont diversement évaluées par les statistiques, le tout s'élevant, aux taux d'aujourd'hui, à une somme de 265 200 000 francs, c'est-à-dire à plus de 53 millions de piastres. À cette valeur s'ajoutent les productions que la colonie se réservait pour son commerce particulier avec les côtes de l'Amérique centrale, notamment avec le Mexique ; avec quelques îles voisines, comme Curaçao et la Jamaïque ; avec la colonie espagnole de Santo-Domingo, et surtout avec les Anglais, qui, même au milieu des guerres de la France avec la Grande-Bretagne au dix-huitième siècle, y avaient, sur certaines côtes éloignées des villes, des rendez-vous où ils faisaient des échanges considérables avec les colons, assez peu patriotes, comme on sait. Il faut, en outre, pour former le total de cette production annuelle de Saint-Domingue, porter en ligne de compte les produits employés par un grand nombre de planteurs à leurs affaires clandestines et très étendues avec les Américains du Nord, qui allaient, dans de petits ports isolés, débarquer des bestiaux, des farines, leurs poissons salés, des bois de construction, qu'ils débitaient en hâte sur la côte. Ils y embarquaient en échange chaque année, plus de 50 000 barriques de sirop, du sucre, du café, et une fort grande quantité d'autres denrées tenues en réserve pour ce commerce interlope. Ces exportations de la colonie au détriment du monopole de la mère patrie s'élevaient à un chiffre à peu près égal à celui de ses relations régulières avec la métropole, et mettent ainsi à un demi-milliard de francs la production totale de Saint-Domingue en ce temps-là, et jusque vers l'année 1802.
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Solenne est une jeune femme passionnée de cuisine. Médium, aussi. Elle cherche, elle expérimente autant de plats qui pourraient réjouir, non seulement les papilles, mais le corps tout entier.Sa vie entière est jalonnée de rencontres, certaines étranges, rétrospectives et même extra-sensorielles, la poussant dans une quête permanente d'elle-même.Retrouver l'amour, celui qui lui avait été interdit des siècles auparavant, sera aussi pour elle une source de pérégrinations culinaires extraordinaires. Les épreuves autant que les plaisirs trouvés sur le chemin la feront grandir à travers l'exploration de saveurs et d'expériences insoupçonnées.
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Nous présentons ici un intéressant document concernant le village de Changy. Nous le devons à Antoine Delorme, instituteur à la retraite, qui nous offre le fruit de ses recherches, tout en dressant un tableau du village en 1907. La précision de certaines