Guillaume Gillet (1912-1987) est, par son oeuvre et par sa carrière, l'un des architectes les plus représentatifs des Trente Glorieuses. Premier Grand Prix de Rome, il est à la tête de l'une des principales agences françaises. Il participe à de nombreux concours, réalise d'importants aménagements urbains et programmes immobiliers. Son oeuvre est marquée par le mariage de l'art et de la technique en des édifices à la plastique étonnante.
Petit-fils et fils d'académiciens, il entre à l'Académie des Beaux-arts en 1968 récompensé pour son engagement en faveur des arts et de l'architecture en particulier. Sous la coupole de l'Institut, il prononce les discours de réception de nouveaux membres : Iannis Xenakis, Roger Taillibert, Kenzo Tange, Ieoh Ming Pei. Il est l'auteur de nombreux articles dans lesquels ses prises régulièrement attaquée.
Il milite pour une architecture pleinement de son époque, déclarant en 1965 "Nous vivons un âge d'or de l'architecture". Les projets suivants sont ici développés : l'église Notre-Dame de Royan (1958), le pavillon de la France à l'Exposition de Bruxelles (1958), l'École nationale de la magistrature à Bordeaux (1972), le projet du Grand hôtel d'Orsay (1962), le domaine du Roy d'Espagne à Marseille (1958-1973).
Francis Ford Coppola. Stéphane Delorme. Réalisateur et scénariste américain (7 avril 1939-Detroit). Actuellement directeur du studio américain Zoetrope, sa compagnie de production fondée en 1969 avec George Lucas et établie à San Francisco. Tonight for sure (1961), Dementia 13 (1962), Big boy (1966), La Vallée du bonheur (1967), Les Gens de la pluie (1969), Le Parrain (1972), Conversation secrète (1974), Le Parrain 2 (1974), Apocalypse now (1979), Coup de coeur, Outsiders, Rusty James (1982), Cotton club (1983), Peggy Sue s'est mariée (1986), Jardins de pierre (1987), Tucker (1988), La vie sans Zoé (1989), Le Parrain 3 (1990) , Dracula (1992), Jack (1996), The rainmaker (1997).
Stéphane Delorme est critique aux Cahiers du cinéma et enseigne le cinéma à l'Université.
Danièle Delorme : " une petite gueule marrante ", disait d'elle Colette, lorsqu'elle tourna Gigi en 1949. En soixante ans de carrière, cette enfant de la balle s'est imposée comme l'une des héroïnes préférées des Français, à la fois fraîche, sensible et combative, sur les planches comme à l'écran. Au travers d'elle, de son parcours, ce sont autant de figures aimées que nous retrouvons : celle de Gérard Philipe, son premier amour à Antibes durant la guerre, quand ni lui ni elle n'étaient acteurs, mais aussi celles de ses deux maris, Daniel Gélin puis Yves Robert, auprès de qui elle a vécu un demi-siècle. Privilège rare, Danièle Delorme a créé des pièces d'Anouilh ou de Salacrou. Elle a tourné sous l'oeil de Clouzot ou de Duvivier et fréquenté des écrivains majeurs : Suarès, Genet ou Ionesco. De portrait en portrait, nous retrouvons aussi ses partenaires de jeu, qui forment une classe d'amis au talent fou, tous singuliers : Jean Gabin, Louis Jouvet, Simone Signoret, Bernard Blier, Jean Carmet, Antoine Bourseiller, Philippe Noiret ou Jean Rochefort... De Colombe à La Guerre des boutons, de Maison de poupée à Un éléphant, ça trompe énormément, sans oublier la saga du Grand Blond ou celle de Pagnol, La Gloire de mon père et Le Château de ma mère, Danièle Delorme n'a jamais cessé de s'engager, comme comédienne, comme productrice et comme femme, pour un répertoire populaire et de qualité. Femme de coeur et d'action, elle livre un récit qui regarde en arrière - pour mieux aller de l'avant. Un livre pudique devant les douleurs, toujours tendre et joyeux.
L'église Notre-Dame domine Royan de sa silhouette singulière. Achevée en 1958, elle est devenue le symbole de la renaissance de toute la ville. Avec son architecte Guillaume Gillet, elle a pris place dans l'histoire de l'architecture religieuse et elles s'inscrit dans le mouvement de renouveau de l'art sacré qui se produit pendant les Trentes Glorieuses.
Grace à l'apport d'une iconographie renouvelée, en grande partie issue des archives de l'architecte, Franck Delorme, historien de l'architecture, contribue à la redécouverte de l'oeuvre de Guillaume Gillet apportant un regard neuf sur un édifice désormais incontournable.
Architecture de Philibert de L'Orme... Oeuvre entière, contenant onze livres augmentée de deux, et autres figures non veues, tant pour desseins qu'ornemens de maisons, avec une belle invention pour bien bastir et à petits fraiz...
Date de l'édition originale : 1626 Ce livre est la reproduction fidèle d'une oeuvre publiée avant 1920 et fait partie d'une collection de livres réimprimés à la demande éditée par Hachette Livre, dans le cadre d'un partenariat avec la Bibliothèque nationale de France, offrant l'opportunité d'accéder à des ouvrages anciens et souvent rares issus des fonds patrimoniaux de la BnF.
Les oeuvres faisant partie de cette collection ont été numérisées par la BnF et sont présentes sur Gallica, sa bibliothèque numérique.
En entreprenant de redonner vie à ces ouvrages au travers d'une collection de livres réimprimés à la demande, nous leur donnons la possibilité de rencontrer un public élargi et participons à la transmission de connaissances et de savoirs parfois difficilement accessibles.
Nous avons cherché à concilier la reproduction fidèle d'un livre ancien à partir de sa version numérisée avec le souci d'un confort de lecture optimal. Nous espérons que les ouvrages de cette nouvelle collection vous apporteront entière satisfaction.
Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
J'ai fait mes études à l'école d'architecture de Saint-Etienne où j'ai pu suivre avec joie et reconnaissance les cours de Jean-Loup Herbert, professeur d'anthropologie, pour qui l'architecture allait de pair avec une vision spirituelle de la société. Ayant consacré une part essentielle de ses recherches à la genèse de la ville de Brasilia, il qualifiait cette utopie urbaine comme une tentative de réduire « ce faux équilibre dans lequel nous vivons, cette coexistence choquante, acceptée comme normale, de la misère absolue avec l'abondance exorbitante ».
Le présent essai, « Espace et temps du commun », tente d'articuler les trois membres de cette trilogie : spiritualité, architecture et dépassement des inégalités. Il constitue en ce sens une véritable recherche sur « l'hospitalité ».
En 2012, le marchand d'art Yvon Lambert fait la donation à l'État français d'un ensemble unique de près de 600 oeuvres de sa collection personnelle, constituée principalement d'oeuvres acquises auprès des artistes qu'il exposait dans ses galeries de Vence, de Saint-Germain-des-prés puis de New York. Au-delà d'une «belle collection», dont l'intérêt historique majeur légitimait que le Centre national des arts plastiques en accepte la donation, c'est une collection des plus originales et intimes qui s'offre à la vue de tous, une «succession d'émotions» acquise durant près de soixante-dix ans par un homme passionné et audacieux, à l'écoute des soubresauts de l'histoire de son temps. La Donation Yvon Lambert reflète cette clairvoyance du galeriste qui introduisit auprès d'un public français plusieurs générations d'artistes qui seraient certainement restés méconnus dans l'Hexagone sans son intervention. C'est pourquoi elle constitue un enrichissement exceptionnel pour les collections publiques françaises tant en quantité qu'en qualité. La volonté du collectionneur de partager «sa seule fortune» s'incarne également par l'ouverture au public en 2000 d'un lieu dédié dans sa Provence natale, à Avignon, et la mise en oeuvre d'une proposition culturelle singulière dont la fonction sociale est clairement revendiquée.
L'ouvrage, coédité par le Centre national des arts plastiques (Cnap), la Collection Lambert et les Éditions Dilecta, donne à voir un choix d'oeuvres emblématiques de la donation et à comprendre les évolutions, depuis les années 1960 jusqu'à nos jours, du monde de l'art occidental, comme le soulignent les contributions inédites des historiens de l'art invités à porter leur regard sur cet ensemble exceptionnel.
En 2012, le marchand d'art Yvon Lambert fait la donation à l'État français d'un ensemble unique de près de 600 oeuvres de sa collection personnelle, constituée principalement d'oeuvres acquises auprès des artistes qu'il exposait dans ses galeries de Vence, de Saint-Germain-des-prés puis de New York. Au-delà d'une «belle collection», dont l'intérêt historique majeur légitimait que le Centre national des arts plastiques en accepte la donation, c'est une collection des plus originales et intimes qui s'offre à la vue de tous, une «succession d'émotions» acquise durant près de soixante-dix ans par un homme passionné et audacieux, à l'écoute des soubresauts de l'histoire de son temps. La Donation Yvon Lambert reflète cette clairvoyance du galeriste qui introduisit auprès d'un public français plusieurs générations d'artistes qui seraient certainement restés méconnus dans l'Hexagone sans son intervention. C'est pourquoi elle constitue un enrichissement exceptionnel pour les collections publiques françaises tant en quantité qu'en qualité. La volonté du collectionneur de partager «sa seule fortune» s'incarne également par l'ouverture au public en 2000 d'un lieu dédié dans sa Provence natale, à Avignon, et la mise en oeuvre d'une proposition culturelle singulière dont la fonction sociale est clairement revendiquée.
L'ouvrage, coédité par le Centre national des arts plastiques (Cnap), la Collection Lambert et les Éditions Dilecta, donne à voir un choix d'oeuvres emblématiques de la donation et à comprendre les évolutions, depuis les années 1960 jusqu'à nos jours, du monde de l'art occidental, comme le soulignent les contributions inédites des historiens de l'art invités à porter leur regard sur cet ensemble exceptionnel.
Voici un ouvrage résolument pédagogique et entièrement illustré qui séduira le débutant, comme le cuisinier professionnel.
200 techniques culinaires et tours de mains indispensables pour réussir toutes les préparations de base, découpage des viandes, filetage des poissons, présentation des légumes, pâtes et sauces salées ou sucrées, gâteaux et entremets...; Plus de 1000 gestes photographiés en pas à pas ; Les secrets des plus grands chefs français et leurs recettes emblématiques (Régis Marron, Jean-François Piège, Alain Passard, Gérald Passédat, Anne-Sophie Pic...) et des Meilleurs Ouvriers de France dans leur spécialité (glacier, fromager..); Un DVD de plus de 1h30, pour visionner et reproduire les réalisations les plus délicates.
L'encyclopédie indispensable à tous, pour être sûr de ses gestes et de ses recettes !
Francis Ford Coppola (USA, b. 1939) is the oldest of the generation of 'movie brats', including Scorsese and Spielberg, who breathed new life into the Hollywood of the 1970s. He revived the glory of the studio age with the legendary Godfather saga (1972 - 90), explored the soul of America at war in Vietnam with Apocalypse Now (1979) and has directed some of the greatest actors, including Brando, Pacino and De Niro. Having outgrown the role of director decreed by the major studios, he is now an independent producer and continues to direct films with undimmed brilliance (Tetro, 2009).
Chanteur de charme dans les années 70, Alain Chamfort est aujourd'hui un personnage atypique de la chanson française. Fragile, timide, élégant, il est à l'image de ses chansons. Musicien au sein de plusieurs groupes de rock dans les années 60, Alain Chamfort devient quelques années plus tard le pianiste de Jacques Dutronc avant d ' intégrer l'écurie de Claude François. Il connaît alors la gloire, la vie facile, les minettes en folie. A la fin des années 70, Alain Chamfort change d'orientation musicale et se tourne vers des textes et des compositions plus élaborées. Gainsbourg avec l'inoubliable "Manureva" le placera au sommet de sa carrière. Après une période délicate qui lui vaudra de se retrouver sans maison de disques, il revient en 2004 avec "Les beaux yeux de Laure", un titre unanimement salué par la critique. 2010 marque son retour médiatique avec 1'album concept "Une Vie Saint Laurent". Flash-back sur un artiste qui a traversé l'histoire de la chanson française depuis quatre décennies.
Le premier tome de l'Architecture / de Philibert de L'Orme,... http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k85636g
Nouvelles inventions pour bien bastir et à petits fraiz / trouvées n'a guères par Philibert de l'Orme,... http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k85634s