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« Pour ceux qui savent que Quasimodo a existé, Notre-Dame est aujourd'hui déserte, inanimée, morte. On sent qu'il y a quelque chose de disparu. »
Trois hommes, une femme, une cathédrale. En cette année 1482, sur le parvis de Notre-Dame de Paris,Esmeralda danse. Quasimodo, le difforme sonneur de cloches, lui voue un amour sincère et mutique. Le prêtre Claude Frollo, repoussé par la bohémienne, a juré sa perte. Mais le coeur de la jeune fille ne bat que pour Phoebus, le beau capitaine des archers. Elle sera la victime de ce triangle fatal malgré l'aide d'un étonnant ami...
Dans une époque où se mêlent ombre et lumière, Victor Hugo place la cathédrale au centre d'un drame aux personnages fascinants. -
Dernier jour d'un condamné à mort
Victor Hugo
- Les Points Sur Les I
- Heritage Litteraire
- 1 Février 2014
- 9782359301076
L'histoire se passe dans les grandes prisons de Paris : Bicêtre, la Conciergerie et l'Hôtel de Ville. Elle dure cinq semaines, le temps qui passe depuis le moment où le protagoniste est condamné àmort jusqu'au moment où ilmonte sur l'échafaud pour être guillotiné.
Le livre se présente comme le journal qu'un condamné àmort écrit durant les vingt-quatre dernières heures de son existence et où il relate ce qu'il a vécu depuis le début de son procès jusqu'au moment de son exécution soit environ six semaines de sa vie.
Victor Hugo présente l'oeuvre dans l'une des trois préfaces qu'il a écrites comme, au choix, un journal écrit par un condamné ou bien l'oeuvre d'un philosophe ou un poète. Victor Hugo laisse ainsi le lecteur décider.
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No pasaran !" ; "le peuple doit se défendre" ; "ce sang qui coule, c'est le vôtre
Dolores Ibarruri, Salvador Allende, Victor Hugo
- Points
- Points Grands Discours
- 23 Septembre 2010
- 9782757819982
Contre la dictature, le fascisme et tous les despotismes, des voix célèbres ont appelé à la liberté.
En 1936, c'est au cri de No pasaràn ! que Dolores Ibàrruri soulevait les foules espagnoles contre les armées fascistes du général Franco. Le 11 septembre 1973, depuis le palais présidentiel bombardé par l'aviation chilienne désormais aux ordres du général Pinochet, Salvador Allende lançait un dernier appel à son peuple, affirmant son intention de mourir plutôt que de se rendre. Et Victor Hugo, en exil après le coup d'Etat de Louis Napoléon Bonaparte, en appelait à " la délivrance de tous les peuples et à l'affranchissement de tous les hommes ".