C'est l'été, les quatre membres d'une famille préparent le voyage pour le prochain départ en vacances. Le débat est lancé. Quel moyen de transport vont-ils utiliser?
Un récit, traité de façon humoristique, pour éveiller la conscience écologique chez les jeunes.
Cami, Gibus et Tosh sont frères et soeurs. Un jour, quand ils entendent leurs parents affirmer qu'il faut «?en liquider un des trois, et sans tarder?», tout vole en éclat...
Une nouveauté de l'Atelier du trio qui veut montrer comment à l'échelle d'une famille, on peut remettre en cause la manière de consommer, de vivre et d'échanger, etc.
Une vraie histoire sans didactisme qui incite à la réflexion, la prise de conscience, la prise de parole et l'engagement des enfants, dans un combat citoyen et écologique.
Hana est réfugiée en France, car dans son pays, il y a la guerre. La nuit, elle dort, avec sa maman, dans un musée, tout près de «Mademoiselle Vole». Mais ça, il ne faut pas le dire. C'est un secret.. Jusqu'au jour où...
« Ce que j'ai aimé chez lui, c'est sa barbe. Jamais auparavant, je n'avais fait attention aux barbes des hommes. Je crois même que je ne les aimais pas. La sienne au contraire m'a émue, je n'ai pas su résister à son bleu roi et profond comme la nuit... » Une Barbe Bleue contemporaine à l'heure où les féminicides sont plus que jamais dénombrés et leur dénonciation enfin diffusée.
"J'étais une peur bleue... On m'a connue citrouille, au détour des jardins. J'étais ce que j'étais, on s'en est désolé. Par bonheur, les grands seigneurs ont, pour nous, de plus jolis desseins !... Alors je préfère la fuite...
Parce qu'au bout du conte, Tout au bout du conte, dans la vie en vrai, j'étais une peur bleue mais je serai l'horizon rouge.
Un texte qui dénonce la condition féminine dans les contes."
« Quand j'avais ton âge, j'ai rencontré une baleine. Pas n'importe laquelle?! La baleine la plus triste du monde. Dans le minuscule bassin qui lui servait de maison, elle pleurait. Je le sais. Pour la consoler, j'ai posé la main sur la vitre qui nous séparait. Et elle s'est approchée. Tout près...».
La rencontre, dans un parc d'attraction, entre une petite fille et une baleine, rencontre qui déclenche une action engagée pour la Liberté.
Le jour où la catastrophe eut lieu, Bassem se rendait à l'école. Il n'y avait plus que ruines autour de lui. Autant dire rien... Soudain, dans le silence qui succédait toujours aux déflagrations, il entendit une musique. Au sommet des gravats, un piano. Assis devant l'instrument, un jeune homme jouait... Un texte qui donne de l'espoir grâce à l'art et au jeu, même au sein d'un contexte infiniment tragique.
Un ado, Robin, élève discret, pas effacé, connu de tous sans faire le « populaire » fait le buzz dans son entourage familial et au collège depuis son retour d'Angleterre. Il s'est acheté une jupe et la porte pour se rendre au collège. Ce vêtement porté par goût vestimentaire plutôt que par militantisme va déclencher une série de réactions au sein du lycée.
- Je voudrais un jardin ! Un jardin pour mon anniversaire. Maman m'a regardé un bon moment, l'air étonné, avant de me répondre en souriant : - Un jardin, Tilo ? Mais c'est une bonne idée ! A vivre dans le béton, on en oublie la terre. Il pourrait être grand comme... la moitié du balcon, tu es d'accord ?
Souvent, Sable regardait autour. Fébrilement. Son oeil perçant voyait les petits détails de la vie. Son museau frémissait. Elle humait, sortait sa langue pour goûter l?air et secouait brusquement la tête d?un petit dégoût. Là, je ne savais pas encore que Sable s?inquiétait pour le Monde. Je n?avais encore jamais vu autant de colère dans le fond de ses yeux. Elle en était sûre et certaine... On n?avait jamais connu l?air entier que les plus vieux nous racontait. L?air d?avant notre naissance.
Alors que M. Marceau, le papiculteur, est sur le point de nous raconter comment il récolte le miel, une toute petite voix murmure à mon oreille : - Le miel, bientôt tu n'en verras plus la couleur ! Tu n'en goûteras plus la saveur. Les hommes nous tuent à petit feu.
Sous son immense chapeau de paille, elle est toujours à l'ombre. Qu'il fasse beau, qu'il neige ou qu'il pleuve en trombe, la petite bonne femme traverse les champs, cahin-caha, le nez au vent. Elle va là où son chemin la mène, là où sa nature la porte. Dans mon village, je m'en souviens, elle est arrivée un jour de poussière. Dans les champs, c'était le jour du grand traitement chimique. On aurait dit que c'était la guerre...
Un livre à lire, à regarder, à écouter... Un livre curieux, né de la curiosité d'une autrice, d'un photographe et d'un musicien. Ils sont partis ensemble à la rencontre de voyageurs, qu'on nomme aussi gens du voyage et sont revenus avec un tas de récits, d'images et d'ambiances. Puis, ils ont réinventé des histoires, parfois drôles, parfois graves, parfois douces et légères et ils ont mêlé leurs voix, leurs regards pour vous faire découvrir cette partie de notre humanité que nous connaissons si peu, et surtout si mal..
Un jour à la plage. Ce pourrait être un jour comme les autres, mais les jours comme les autres n'existent pas pour lui. Et parfois, juste parce qu'une voix dans la rue a crié, que la tartine est tombée, une image à la télé, ce sont les minutes qui ne ressemblent pas aux précédentes. Du coup, il ne se sent à sa place nulle part ou alors, si peu de temps que cela ne compte presque pas. Une narration dont le héros est une personne bipolaire.
Le Préfet doit venir présider une inauguration dans un collège. Mais de la disparition de Miran, mineur isolé sans papiers, personnage principal de la manifestation, découle un débat entre la principale, une professeure et une élève pour décider de la conduite à tenir : Interpeller le Préfet - Être stratège - Désobéir. Les spectateurs de la pièce vont voter pour choisir la suite qu'ils désirent.
Je me tenais dans le fond de la cage. J'aurais voulu pousser le mur de béton et passer au travers des barreaux. J'ai fermé les yeux. J'aurais voulu me réveiller là-bas, en Afrique, au beau milieu de la savane où, avant, je courais en toute liberté." Dans un zoo d'une grande ville du Moyen-Orient en proie à la guerre, Labiwa la lionne est piégée dans sa cage. Maya, la petite fille, et le vieil Hamid parviendront-ils à la délivrer ?
Tout a commencé par un bonbon. En passant dans la rue Dici, monsieur Dubalai, de la rue Dacoté, a jeté l'emballage de son caramel mou sur le trottoir. Un peu plus tard, madame Prout-prout, qui vit aussi rue Dacoté, a descendu dans la rue Dici une chaise à trois pieds. La même journée au même endroit, monsieur Léger s'est débarrassé de son vieux frigo. « J'ai tout vu ! » a glapi une voisine depuis sa fenêtre. Si elle avait su ce qui allait se passer après, peut-être aurait elle fait quelque chose, là, tout de suite. Au bout d'un moment, les gens de la rue Dici ont décidé de réagir. La guerre des poubelles sauvages était déclarée.
Un enfant et son grand père naviguent au fil de la rivière. Alors que le monde semble paisible en surface, se trame sous l'eau un drame provoqué par la pollution. Tous les deux vont parvenir à sauver un poisson prisonnier d'une poche en plastique rose. Au fil de l'eau est un petit conte qui vient nous rappeler que chacun de nous peut agir, à son niveau, pour que la terre tourne plus rond, dans le respect de la nature et de la vie.
Un oiseau descend des nuages. Il se pose sur un grand livre ouvert qu'un inconnu avait oublié sur la plage: un beau livre, géant, fragile, solitaire. Un vent doux et insouciant en agite les pages. Et l'oiseau picore des mots sur le papier. Des mots bienfaisants, afin de les disséminer sur cette terre en proie à toutes les formes d'absurdité et de violence. Et l'autrice ancre l'espoir d'un monde plus équitable et meilleur autour d'un mot sans lequel aucun des autres ne peut développer son sens (AMOUR).
Vous êtes nées filles. À aucun moment de votre toute première seconde, je n'ai imaginé que ça pouvait être autre chose qu'une conviction d'égalité...
Je suis la guerre des Hommes contre les Hommes. Pas celle que les enfants lancent à chaque coin de terrain vague quand ils imitent et font semblant, pas celle qui s'imagine, qui s'embellit ou s'écrit en poésie fleuve, rien qui ne soit né d'un simple claquement de doigts.
Vous pensez tenir un livre dans vos mains ? Et bien détrompez-vous : vous en tenez huit. Vous ne me croyez pas ? Il vous suffit de tourner mes pages, de suivre le personnage qui court de texte en texte et vous verrez que je ne vous mens pas.
2 textes en vis à vis 1+1=1: Elle et lui s'aiment incroyablement. Par-fois ils ne se comprennent pas, et pourtant...
LE SAUVAGE : Enzo est parti en voyage en Amazonie. Il rencontre une amérindienne et depuis...
Aliou, t'es noir c'est grave... Marcus s'en prend à Aliou mais à l'école de la République, chaque élève a droit à la Liberté, l'Égalité et la Fraternité. Facile à dire mais à l'école il y a Marcus et sa bande...