« Cet examen sent la fin de notre formation, nous sommes fins prêts, du moins en principe. Adieu Siroco, bonjour la DBFM (demi-brigade de fusiliers marins). Nous sommes mûrs pour le combat, pour faire la guerre... pardon, pour maintenir l'ordre ! subtile nuance, lourde de conséquences s'il vous arrive malheur car ce n'est pas une guerre, c'est un maintien de l'ordre : la mort n'est pas la même aux yeux des extraterrestres que sont souvent nos dirigeants ! Contrairement à ce que je pensais, nous ne partons pas tous pour la DBFM, une moitié seulement, les plus vaillants dont je fais partie ! » L'Algérie s'est déjà soulevée quand J. Richard est appelé à effectuer son service militaire. Une obligation à laquelle il ne se dérobe pas et qui le conduit notamment au plus près de la mort, de la terreur et de l'horreur, sur les pitons algériens. Une expérience traumatisante, souvent insoutenable, sur laquelle il met enfin des mots, donnant ainsi naissance à un témoignage fort et engagé, nourri de documents éloquents, qui rend compte d'une tragédie humaine et générationnelle trop vite passée sous silence. Une occultation, voire un refoulement, contre lequel se dresse aujourd'hui ce récit qui dénonce et le gâchis des vies humaines et l'incurie des dirigeants de l'époque.
Voici un village presque imaginaire. Un endroit inconnu que tout le monde connaît. Où les grands-mères ont l'oreille absolue, où les coqs sont ténors, les instituteurs communistes, les cyclomotoristes dégingandés. Où les fous sont au volant, où les agriculteurs se croisent, où les chiens sont de faïence, les curés toujours prêts, et le cimetière, sous la pluie. Les nuages de ce petit recoin du nord sont à la démesure des accords de Richard Strauss ou de Gustav Mahler. Être chef d´orchestre, c'est organiser les sonorités. Celles d´autrefois, celles d´Outrebois, semblent avoir suscité cette musique...
Vienne, un soir d'avril 1938. Alors que les Nazis viennent d'envahir la ville et d'imposer un sévère couvre-feu, Elsa Fridenberg, la célèbre Directrice de l'Académie des beaux-arts, attend en secret une vieille amie qui doit échapper aux rafles. Piégée par la Gestapo, Fridenberg semble perdue... jusqu'au moment où un mystérieux balayeur veut lui venir en aide. "Un texte fort (...) Une montée en tension admirable" (toutelaculture.com)
Dans un style direct et vivant "madame Much", visiteuse de prison, raconte son parcours dans le milieu carcéral, ses visites et le suivi de quelques-uns de ceux qu'elle a rencontrés en prison, tout en vivant sa vie de famille. Elle raconte aussi ses relations avec la magistrature, la police, les gendarmes. Avec son journal, elle témoigne de son expérience sur le terrain et suggère des solutions envisageables pour tâcher d'éviter les nombreuses récidives de petits délinquants.
Sur une base américaine installée à Brindisi, des militaires mènent leurs actions. Max, pilote de l´armée, sauve une femme de la mort en l´arrachant à ceux qu´il pense être ses tortionnaires. Il sait que ce coup d´éclat va lui coûter cher. Son caractère indiscipliné a toujours posé problème. Dès qu´il le peut, Max se rend au chevet de Leïla avec qui il se lie d´amitié alors qu´elle est hébergée chez le Docteur Luca. Mais suite à sa sanction, Max décide de tout quitter pour partir à Matoury, en Guyane. Un mois plus tard, n´ayant nulle part où aller, Leïla le rejoint. L´amour naît. Mais peu à peu, les premiers doutes s´immiscent dans l´esprit de Max...
Le vortex est un tourbillon creux qui se produit dans un fluide en écoulement. C'est le principe même du cyclone. Un mouvement physique violent qui se déclenche à la seconde, comme le moindre événement peut lui aussi venir perturber le cours stable de l'écoulement du Temps. Mais il peut être aussi la décision que chacun de nous doit prendre pour bouleverser le cours des choses ou au contraire rétablir l'ordre dans le désordre. Comme s'il n'y avait jamais en rien ni début ni fin mais seulement un principe d'harmonie vers lequel le fait de tendre demeure le seul but raisonnable et ultime. Aujourd'hui je me demande juste quel est le grain de sable que ni Gina ni moi n'avons su déceler dans la mécanique si bien réglée de cette vie aimantée par la réussite et le succès. Elle a raison, Gina. Je ne connais pas Philippe.
Cinq adolescents vont passer leurs vacances dans une base scientifique au pôle Nord. Le professeur Grant, père de Jean, a fabriqué une combinaison composée de l'antigel d'un tardigrade et du tissu vivant d'un blob, qui devrait permettre aux membres de la base de descendre sous la banquise pour trouver un précieux minerai. Pour ne pas éveiller les soupçons des Pôldoves, scientifiques des pays limitrophes ayant leur base aussi sur le Pôle, l'équipe voyage à bord d'un faux iceberg. Mais leur expédition tourne au drame lorsqu'un des membres est atteint d'un mal étrange dû à un virus préhistorique, trouvé dans une carotte de glace... Ce virus deviendra une arme bactériologique convoitée par une puissance étrangère. Heureusement, face aux nombreux dangers qui les guettent, les cinq amis pourront compter sur la présence de deux êtres exceptionnels, le blob « Blobby » et le tardigrade « Elliot ». Deux êtres d'exception, en effet, et ils existent vraiment ! Le blob n'est ni plante, ni animal, ni champignon et pourtant, il se déplace, voit, sent, respire, s'accouple... Il n'a pas de neurones et pourtant, il est capable d'apprendre et de résoudre des problèmes... Le tardigrade, minuscule par sa taille, mais grand par ses dons extraordinaires ! Il est capable de survivre dans des conditions extrêmes, de réparer son ADN et a même été envoyé dans l'espace !
Quand Julien Amiot est envoyé à Saint-Jean-de-Luz pour dénouer une affaire de meurtre, personne dans la commune basque ne croit au succès du policier parisien. Et encore moins le capitaine Bixente Etchart, fort de son expérience locale, qui, pour l'instant, patauge dans ses recherches. Les deux hommes vont travailler de pair, sur fond de rivalité, de rancurs et de jalousie. Le policier parisien, qui connaît la ville depuis son enfance, n'a pas été envoyé par hasard : la cité des Corsaires n'a aucun secret pour lui.
"Ma grande soeur qui avait assisté à la scène ricanait. Elle m´attendait dans le jardin, au coin de la maison, pour me mettre une raclée. Gifles, coups de pieds, coups de poings. Quel âge avais-je ? Trois ou quatre ans ? « Prends ça, fayot, lèche-cul, tapette ! Et va le dire à Maman, tu vas voir ce que tu vas prendre ! » Mais ça ne s´est pas passé comme ça longtemps. Dès que j´ai été de taille à lui répondre, je lui ai rendu ses coups - dent pour dent et oeil pour oeil, disait ma mère- sans oublier les intérêts. Et la dernière vraie bagarre dont je me rappelle a eu lieu l´année de mes six ans. Je me débrouillais avec ma taille, contre une pluie de gifles, je répondais avec une volée de coups de pieds dans les tibias. Le procédé manquait certes d´élégance, mais comme le disait si justement ma mère, il n´y a que le résultat qui compte".
Juillet 1942, à Paris. Frajdla Cinamone est arrêtée pendant la grande rafle du Vel d'Hiv, internée à Drancy puis déportée à Auschwitz. Soixante ans plus tard, Tristan Donnadieu, peintre en quête éperdue de reconnaissance est en pleine dépression. A la mort de son père, il va partir à la recherche des secrets de sa famille: la maladie de sa mère, la maltraitance subie, l'indifférence de son père, la haine de ses soeurs. Entre dépression et devoir de mémoire, un roman autour de cette obsédante question: l'oubli n'est-il pas le meilleur moyen de tuer les morts?
« Il y a des cavaliers au regard aussi furieux qu´est craintif celui de leurs chevaux. Il y a des hommes à pied qui avancent ensemble armés de pieux. Il y a tant de chiens qui s´agitent autour d´autres hommes qui essaient de les contenir. Il y a des cris, du métal et du feu. Il y a un poison mortel sur les pages de ce livre et que tu as déjà respiré. Ne te sens-tu pas pris par un étrange vertige ? »
"Roulent nos vies en rond Sur un globe rond En rond, autour d'un gros rond Rouge Roulent nos vies En rond Depuis ce bon gros ballon rond D'où il a fallu qu'on nous déroule"
Professeur de français dans un lycée du Mans, Dan Lécuyer n'éprouve plus aucun sentiment pour son fils Ethan depuis la disparition soudaine de la femme de leurs vies, quatre mois auparavant. Le premier sombre dans la dérive et le repli sur soi, tandis que le second se noie dans un désespoir pudique, impuissant face à l'insoutenable effacement de son père. Les plaies s'ouvrent et risquent la béance, des secrets se révèlent et éclairent le naufrage d'une lumière de plus en plus noire. L'un et l'autre en réchapperont-ils ?... La paternité demeure un sentiment généralement nimbé de non-dits et de retenue. Dès lors, parler de sa faillite et de son inéluctable ruine revient à envisager l'enfance dans ce qu'elle peut avoir de plus douloureux, de plus abandonné.
Dans ces huit nouvelles qui mettent en scène la cruauté, les personnages se font écho d'un texte à l'autre. La cruauté, c'est l'esprit de vengeance, c'est le plaisir de faire mal. L'auteur s'attache cependant à saisir une certaine beauté dans l'obscur, une certaine grâce chez ces êtres qui, de victimes évidentes, peuvent passer au statut de bourreau machiavélique... et vice versa.
Voici le roman d'une solitude. Voici le roman d'un errance. Voici le roman d'un amour manqué. Voici le roman d'une folie, celui d'une non-rencontre. Voici le roman d'un raté. Vous avez dit désespéré ? Oui. Et désespérant.
Lilly mène une existence proche de la banalité. Outre le fait qu'elle cache ouvertement ses origines à quiconque la côtoie, elle officie en tant que servante pour le compte de la fille du roi Alaric, souverain d'Arzhian. Jusqu'à ce que le lourd passé qu'elle s'efforce de taire depuis tant d'années vienne compromettre ses chances de mener une vie sereine. Bientôt, elle devra faire face aux souvenirs auxquels elle souhaite échapper et à une destinée dont elle ignorait tout. Deux pays, deux royaumes. L'un proscrit la magie et la condamne lourdement, l'autre la revendique et en use librement. Deux royaumes que tout oppose mais qui par la force des choses seront amenés à s'unir dans une lutte contre le mal. Des secrets soigneusement gardés seront révélés et mettront à l'épreuve amour et amitié...
« Eva restait là, sans rien dire, les yeux grands ouverts, face aux étoiles. Ce qu'elle pensait, nul ne le savait. Il émanait d'elle un calme olympien, une sérénité impressionnante, déstabilisante... » Le regard joue un rôle essentiel dans ces deux nouvelles. Sera-t-il suffisant pour percer les mystères de la vie ? Si l'histoire d'Eva et celle d'Ignace demeurent un fait unique, elles résonnent cependant de profondes questions existentielles à dimension universelle. Comment aimer vraiment, quel est le rôle des générations antérieures, la vie a-t-elle un sens ? À vous de voir, à vous de lire...
À l'extrémité nord de la plage, nous nous sommes assis entre les rochers. Nous sommes restés longtemps sans prononcer un mot, à regarder l'océan, sans oser esquisser un geste, en respirant à peine, afin de préserver cet instant. Je ne me souviens plus dans quel ordre et comment se déroula la suite, mais je n'oublierai pas quand vos yeux se peuplèrent de villes englouties. Sur la plage déserte, un cheval d'amadou, se dressa sous la lune. Ma fleur à ventre de négresse, se mit à battre au rythme des tambours.
Perle, jeune adolescente des beaux quartiers, vit avec ses parents d'adoption Elize et Carle qui la couvent d'amour. Abandonnée devant leur porte un soir de tempête, elle ignore tout de ses origines. De nature solitaire et posée, la jeune fille cache néanmoins un lourd secret. En effet, elle est entourée de magie depuis son plus jeune âge. Cette dose de féérie fait de l'adolescente un être hors du commun. Mais malgré cette fabuleuse dimension l'entourant, Perle, déscolarisée pour cause de précocité intellectuelle, se sent terriblement seule et incomplète. Elle aimerait, du plus profond de son coeur, connaître son histoire. Son souhait sera exaucé le jour de son seizième anniversaire où la jeune fille découvrira ses origines et ce que ces dernières lui imposent. Accompagnée d'Ethan et de Stella, deux êtres ailés, elle se retrouvera propulsée au plus profond de ses racines à ses risques et périls.
« Le conditionnel passé est un mode à bannir. Futile et détestable, il emprisonne dans les regrets et prive de la perspective. Pour une fois, je réclame le Présent, temps du tremplin. La résignation appartient au passé et l'espoir à l'avenir. Ce ne sont plus mes choix ! J'opte brusquement pour la Vie. Ce sera mon dernier essai pour vivre libéré de la souffrance. Une décision radicale s'impose. Une voix me dit : "ne rentre pas chez toi". J'abandonne les embouteillages et emprunte une autre autoroute sans savoir où elle me mènera... » Des premières pages terriblement réalistes aux dernières lignes littéralement lumineuses, de la grisaille initiale à la clarté intérieure finale, c'est sur un chemin d'abandon, de dénuement, de découverte de soi... autrement dit sur un chemin de vérité et de sérénité que nous conduit l'antihéros de ce roman, qui, pour être lambda, n'en incarne pas moins notre désenchantement moderne. Jalonné de rencontres fortes (l'ermite, le moine, le mendiant...) et faisant halte en des lieux hautement symboliques (la forêt, la communauté, le désert, la grotte), ce récit, qui abandonne le trivial pour mieux laisser s'épanouir l'ambiance onirique et fantastique, se situe dès lors dans la noble tradition des contes philosophiques... De ces écrits où fiction et enseignement se confondent, et qui se tendent à nous comme autant de miroirs dans lesquels se réfléchir... et cela dans les deux sens du terme.
Imaginez-vous incapable de vous souvenir de votre identité, incapable de reconnaître les gens qui vous entourent, et même incapable de parler. Être étranger à lui-même est devenu la réalité de Camille. Il comprend tout ce qui se passe autour de lui mais ne peut pas s'exprimer. Du moins avec des mots. Il a aussi du mal à ressentir des émotions comme il en perçoit chez celle qui l'a accueilli dans sa maison. Dans leur maison a-t-elle dit. Pourtant il ne reconnaît rien ici. Qu'importe, elle est gentille et il lui est reconnaissant de l'avoir fait sortir de l'hôpital où tous ces gens lui faisaient peur et l'agressaient. Mais tous ceux qui ont fait partie de son passé ne veulent qu'une chose : essayer de le faire ressurgir. Faire en sorte que le Camille d'avant revienne. Et s'il ne le voulait pas ? Et si ce qui comptait pour lui désormais était de vivre le moment présent puisqu'il ne se souvient pas du passé et ne conçoit pas l'avenir ? C'est ce que comprennent Jeanne et Yamina, ces deux jeunes filles auxquelles il s'attache et qui lui font faire des progrès énormes. Pourtant, un tel désir peut-il être satisfait dans une société où la survie passe par la maîtrise de codes et de valeurs que Camille ne possède plus ? Avec "Ce qu'il reste quand on a tout oublié", Michel Ponte réussit le pari magistral de nous faire entrer dans la peau de ce personnage attachant et profondément humain. Nous découvrons avec lui son passé, sa vie, ses goûts et partageons ses interrogations, parfois sans réponse. Un ouvrage empli d'émotion et de sincérité qui n'a de cesse de nous placer face à nos certitudes sur la vie pour nous montrer que la souffrance n'est pas toujours là où nous aurions pu le croire.
L'Afghanistan. La Femme. Comment peindre les différents visages de l'une et de l'autre ? Écrits sous la forme de témoignages, ces fragments donnent vie et voix à une douzaine de femmes. Elles sont afghanes, occidentales, toutes en rapport étroit avec l'Afghanistan. Les paroles se complètent, s'opposent, toutes inséparables les unes des autres, comme liées par ce même pays. Plus qu'un état des lieux de l'Afghanistan, ces femmes dressent un portrait de notre monde. « (.) Myrtille Bastard évoque la cruauté d'une vie subie et acceptée comme naturelle - faute d'autre modèle - par la femme afghane. Effrayant. Poignant. (.) Magistral. Gifle. Électrochoc pour nous, Européens, même lorsqu'elle parle de la femme en France. » La Marseillaise Varoise Édition double : versions littéraire et théâtrale.
Entre les cours à l'université, les virées nocturnes trop arrosées, les réveils auprès de la conquête d'un soir dont il souhaite s'éloigner au plus vite, Gabriel semble rythmer sa vie sur un tempo d'insouciance et de dérision. Mais qu'en est-il vraiment ? Immaturité ou images à oublier ? Quels liens intimes ou secrets unissent Gabriel et son fantasque colocataire Néron? Quelle sombre histoire familiale a pu ainsi ravager les liens d'amour que l'on pourrait y espérer ? Au rythme d'un coeur qui bat, trop vite comme le temps qui passe, nous sommes entraînés dans cette vie débridée qui s'enivre d'un présent improbable, peut-être pour tenter de tourner le dos au passé et se protéger de l'avenir. Dans ce rythme effréné, Gabriel semble parfois accepter de s'accorder une pause avec Layla, Adam ou Luna mais pour combien de temps... le temps d'un coeur qui bat !
Les errants de léternité sont allongés comme des morts, contrairement aux apparences, ils ne le sont pas. Leurs corps ont été plongés dans une profonde léthargie, une sorte de sommeil proche du coma, contrôlé par une machinerie ultra complexe et hyper sécurisée qui utilise lénergie solaire pour fonctionner. Cest ainsi que les condamnés purgent leur peine, ils errent en orbite autour de la terre, dans ce que lon nomme une isosphère. Ils sont nombreux, tous ces prisonniers que les hommes ont châtiés, au nom dun monde sans tache, poli en surface, débarrassé de ses opposants à la suprématie politique, et unifié dans sa globalité. Pourtant, il suffirait de peu pour que la volonté de ceux des sous couches sociétales, de tous ces incompatibles relégués à la poubelle de tri sélectif, ne se révoltent un jour, seulement on leur fait croire quils sont peu."" Tristan LUNAIR - Gêne éthique de la copie conforme La frontière qui sépare le réel de limaginaire est ici très mince, elle se confond, créant un univers ou sentrecroisent lonirisme, lextraordinaire, et la solitude de lêtre dans lagencement de lunivers. On pourrait dire que ces nouvelles échappent à notre contrôle, tant le basculement, linsolite des situations surprennent, lauteur nous emmène là, ou nous naurions jamais songé
Un auteur se lance dans un face-à-face avec ses doubles. Des doubles musicaux, cinématographiques, picturaux, qui le propulsent dans une véritable odyssée. À travers le temps et l'espace, Stéphane Berthomieux nous guide vers quelque rivage métaphysique. Au-delà de l'épopée intime ou d'un simple exercice d'introspection, il nous invite, avec ce qu'il croit, ce qu'il voit et ce qu'il est, à célébrer notre propre Subjectivité.