Il existe, dit-on, des mines de diamants d'une pureté inégalée aux confi ns du Zaïre et de l'Ouganda. L'expédition envoyée sur place annonce qu'elle a localisé la légendaire cité de Zinj et son fabuleux trésor.
Mais les images transmises montrent un camp de base dévasté, des équipements détruits, des cadavres, et la vision fugitive d'un visage de primate.
Karen Ross, la responsable du projet, décide alors de mettre sur pied une seconde expédition, et réunit des compagnons dont elle découvrira bientôt à quel point leurs intérêts divergent...
Pourrait-elle cependant compter sur Amy, une femelle gorille qui, dotée d'un ordinateur, peut transcrire ses pensées en paroles ?
Sans quoi les membres de cette équipée, même s'ils réussissent à lever le secret de Zinj, ne tarderont pas à découvrir qu'ils font - eux aussi - partie d'une espèce en voie de disparition...
Grâce à l'intervention d'Oolong, Pilaf n'a pas pu réaliser son voeu. Mais Goku et ses mais sont toujours à merci de cet infernal personnage. Même les efforts conjugués de Yamcha et Goku ne suffisent pas à les libérer. Mais cette nuit est une nuit de pleine Lune, qui sait ce qui peut arriver
Un meurtre annoncé dans le reflet d'un miroir ; un héritier gênant changé en matou docile ; une religieuse qui tue à distance et à volonté. Ces histoires-là auraient pu être des énigmes policières : elles en ont la construction, le suspense. Pourtant, les limiers de Scotland Yard y chercheraient en vain les indices chers à leur coeur. Ici, point de traces de pas dans la boue, d'emplois du temps truqués ou de mégots tachés de rouge à lèvres. Quiconque désire trouver des réponses devra pour cela en appeler aux esprits...
À travers ces douze nouvelles, la reine du crime nous plonge dans le fantastique avec un talent pour cette veine bien souvent insoupçonné.
Traductions révisées de Jean-Paul Martin
L'entraînement de Son Goku vient de commencer. Au programme : course chronométrée, épreuves d'endurance et missions farfelues... En plus, Son Goku apprend qu'il n'est pas le seul disciple de Kamé Sennin. La concurrence est rude !
Le De uiris illustribus Vrbis Romae (DVI) est un recueil de courtes biographies couvrant l'histoire de Rome depuis sa fondation jusqu'à la fin de la République. Dès le 1er siècle a.C. fut élaborée une liste canonique des grandes figures du passé « national », qui a inspiré, outre le forum d'Auguste, toute une littérature de biographies de uiris illustribus, d'Hygin à Suétone, puis à l'empire tardif, où s'est accentuée leur floraison, quand paganisme et christianisme se disputaient autour de la question des valeurs, nouvelles ou traditionnelles. Les traditions sur les premiers siècles de Rome, qui avaient été le « catéchisme civique » des Romains, la base de leur culture traditionnelle, devinrent alors, chez les païens, un thème à la mode, par la volonté de sauver l'essentiel de l'histoire des origines et de la République, face aux chrétiens qui, parce que ces traditions intégraient étroitement valeurs et croyances païennes, pensaient qu'ils devaient être éradiqués. Le DVI appartient à cette production, qui fleurit à partir du IIIè siècle p.C. Nous avons des raisons de penser qu'il a été écrit très probablement à l'extrême fin du IVè siècle. Si son auteur reste anonyme, on a pu en revanche cerner certains traits de sa personnalité : c'est un païen lettré, qui connaît suffisamment le christianisme pour être au courant des traditions les plus moquées par les chrétiens ; pour celles-ci, on le voit alors prendre des précautions oratoires.
L'édition proposée, avec un nouvel établissement du texte, une traduction respectueuse de celui-ci et un commentaire aussi exhaustif que possible (paléographique, linguistique, stylistique, et surtout historique), est destinée à mettre en évidence l'intérêt du DVI, injustement méconnu, pour la recherche moderne.
Ce roman se situe dans le monde riche et luxuriant du Sud américain. Un monde de torpeur, de luxe, et de volupté, à la veille de la guerre de Sécession. Sur cette toile de fond, un foisonnement de péripéties, de rebondissements, de violences et de scènes d'amour. L'héroïne, cette belle inconnue terrifiée, amnésique, qui est-elle ? Lierin, ou sa soeur jumelle Lenore, ou encore une pauvre folle échappée d'un asile ? Est-elle mariée à Ashton ou à Malcom ? Est-ce une victime ou une simulatrice ?
Holloman, ville moyenne et plutôt tranquille du Connecticut. Jusqu'à cette journée d'avril 1967, où l'inspecteur Carmine Delmonico recense pas moins de douze cadavres ! Une hécatombe...
S'il ne faut que peu de temps à Delmonico et à ses coéquipiers pour résoudre quatre crimes, il leur faudra se montrer plus patients pour les huit restants, d'autant qu'à l'époque n'existent pas encore les méthodes de profiling, les bases de données informatiques et le traçage ADN.
Delmonico acquiert rapidement la certitude que tous ces meurtres sont liés. Mais quel lien entre une prostituée, trois serveurs, un PDG de multinationale, une femme jalouse, un étudiant... ?
Et, comme pour lui compliquer la tâche, apparaissent agents du FBI et espions du KGB, qui semblent s'intéresser de près à une entreprise d'armement dont le PDG fait justement partie des victimes...