Chants errants (frontispice Joaquín Vaquero Turcios)

Traduit de l'ESPAGNOL par FREDERIC MAGNE

À propos

Né en 1867 au Nicaragua il fut, dès quatorze ans, fêté comme le « poète-enfant » incomparable. Il devient, dans le sillage de Bolivar et de Marti, le symbole d'unité spirituelle de l'Amérique latine, mais c'est à Paris que son oeuvre va se construire dans la tension d'une « admiration immense et profonde pour la langue française ». Il y rencontre surtout Verlaine, « Socrate lyrique » d'une époque impossible, dont l'influence contribuera à ce que Darío soit reconnu comme le rénovateur de l'ensemble de la poésie espagnole, salué très tôt par Antonio Machado, Jorge Luis Borges et Octavio Paz. Son portrait est l'oeuvre de Joaquín Vaquero Turcios, peintre espagnol, son petit-neveu.

« Quand un poète comme Darío passe par une littérature, tout en celle-ci change. Peu importe notre jugement personnel, peu importent aversions et préférences, peu importe presque que nous l'ayons lu. Une transformation mystérieuse, insaisissable et subtile a eu lieu sans que nous le sachions. Le langage est autre. » (Jorge Luis Borges)


Rayons : Littérature > Poésie


  • Auteur(s)

    Rubén Darío

  • Traducteur

    FREDERIC MAGNE

  • Éditeur

    La Delirante

  • Distributeur

    La Delirante

  • Date de parution

    15/06/1998

  • EAN

    9782857450313

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    48 Pages

  • Support principal

    Grand format

  • Dewey

    800

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