La mosaïque sarantine Tome 1 ; voile vers Sarance

Traduit de l'ANGLAIS (CANADA) par MIKAEL CABON

À propos

Dire de quelqu'un qu'« il fait voile vers Sarance », c'est dire que sa vie s'apprête à basculer?; s'envoler vers la lumière et la fortune ou s'abîmer dans un précipice sans retour. Le triomphe ou le malheur.
Et c'est vers Sarance, joyau du monde et coeur d'un empire, que ses pas mènent le mosaïste Crispin de Varène. L'empereur Valerius a entrepris d'y élever le sanctuaire de la Sainte-Sagesse, le plus somptueux que le monde ait jamais connu, à la gloire de son règne autant que du dieu unique, et il lui faut l'artiste qui enrichira de mosaïques sa nef et sa gigantesque coupole.
Le défi serait immense à lui seul, mais le monde n'est pas si simple où Crispin s'aventure : les schismes guettent, le paganisme rampe, la guerre menace, le surnaturel jaillit au détour d'un chemin. Et, comme toujours, le mouvement de l'histoire emporte le destin des « enfants de la terre et du ciel ».
C'est cela que Guy Gavriel Kay n'a de cesse d'explorer avec une douloureuse bienveillance. Cette fois, c'est de la Constantinople de Justinien au VIe siècle de notre ère, capitale de l'Empire romain d'Orient, qu'il s'est inspiré pour composer le diptyque de « La mosaïque sarantine », dont Voile vers Sarance est le premier volet.


Rayons : Fantasy & Science-fiction > Science-fiction


  • Auteur(s)

    Guy gavriel Kay

  • Traducteur

    MIKAEL CABON

  • Éditeur

    L'Atalante

  • Distributeur

    Sodis

  • Date de parution

    26/09/2019

  • Collection

    La Dentelle Du Cygne

  • EAN

    9791036000133

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    528 Pages

  • Longueur

    20 cm

  • Largeur

    14.5 cm

  • Épaisseur

    4 cm

  • Poids

    646 g

  • Support principal

    Grand format

Infos supplémentaires : Broché  

Guy Gavriel Kay

Kay est à la fantasy historique ce que Pratchett est à la fantasy burlesque. Quand Pratchett écrit le premier volume de ce qui deviendra Le Disque-monde, son projet est de prendre le contre-pied de la « mauvaise » fantasy publiée au début des années 80 à coups de seigneurs noirs et autre décorum du genre (cf. Lapsus clavis, Un scribouillard importun, p.69) ; de même, G. G. Kay met sa plume et sa soif de culture au service d'une forme qu'il veut sortir de l'« ornière ». Le Disque-monde se nourrit de culture populaire (folklore, sciences et techniques qui changent le quotidien) et dresse au fur et à mesure une vie de la Cité ; dans les livres de Kay, la « grande » Histoire est convoquée, les arts sont à leur sommet, les individus se dépassent, les émotions et les sacrifices sont grandioses.

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